Ce jeu de données est construite dans le cadre du SCoT et des 'Territoires à Énergie Positive' (TEPOS), de la Nouvelle-Aquitaine. Définition GEMET : Une expression collective pour les composants de l'atmosphère qui influencent l'effet de serre, à savoir le dioxyde de carbone, le méthane, les oxydes d'azote, l'ozone, les CFC et la vapeur d'eau. Un territoire à énergie positive vise l'objectif de réduire ses besoins d’énergie au maximum, par la sobriété et l'efficacité énergétiques, et de les couvrir par les énergies renouvelables locales ("100% renouvelables et plus"). L’accomplissement de la transition énergétique représente la fin première (rôle constitutif) du territoire à énergie positive : elle répond aux enjeux fondamentaux du changement climatique, de l’épuisement des ressources fossiles et de la réduction des risques industriels majeurs à l’échelle du territoire.

Ce jeu de données est construite dans le cadre du SCoT et des 'Territoires à Énergie Positive' (TEPOS), de la Nouvelle-Aquitaine. Un territoire à énergie positive vise l'objectif de réduire ses besoins d’énergie au maximum, par la sobriété et l'efficacité énergétiques, et de les couvrir par les énergies renouvelables locales ("100% renouvelables et plus"). L’accomplissement de la transition énergétique représente la fin première (rôle constitutif) du territoire à énergie positive : elle répond aux enjeux fondamentaux du changement climatique, de l’épuisement des ressources fossiles et de la réduction des risques industriels majeurs à l’échelle du territoire.

Données décrivant l' évolution de la surface de haies et de la surface des boisements (hors forêt domaniale et hors friches agricoles). Les données de plantation de haies provenant d'EVA17 sont également présentent. Définition GEMET : https://www.eionet.europa.eu/gemet/fr/concept/3917 Ligne de buissons ou d'arbustes étroitement plantés, marquant les limites d'un champ. Le type de haie varie selon les régions du pays et son âge peut être daté grâce au nombre d'espèces d'arbres et d'arbustes présentes. Au cours des trente dernières années, la suppression des haies a eu un effet visuel marqué sur les paysages agricoles des basses terres. Du point de vue de l'agriculteur, dans les zones à prédominance arable ou de pâturage intensif, il y a peu ou pas de justification économique pour le maintien des haies.